Vingt-cinq ans se sont écoulés depuis que le restaurateur Micael Memmi a ouvert les portes de Zo, Restaurant Méditerranéen & Sushi Bar, situé au 13 rue Montalivet, non loin du Palais de l’Élysée. Afin de célébrer ce quart de siècle, une nouvelle ère s’annonce avec un nouveau chef de cuisine qui ne laisse pas insensible.
Paris. Ah Paris ! Cette ville où chaque rue raconte une histoire, où chaque quartier est un tableau vivant de culture. Au cœur de la capitale bouillonnante se niche une adresse incontournable : Zo. Célébrant aujourd’hui un quart de siècle d’excellence culinaire, ce restaurant méditerranéen et sushi bar, dirigé par Micael Memmi, est un véritable voyage culinaire où les saveurs méditerranéennes et asiatiques se rencontrent et s’entremêlent créant ainsi une symphonie gustative.
Dès que l’on franchit les portes du lieu, nous sommes saisi immédiatement par une atmosphère accueillante. Le nouvel air, imaginé par le décorateur Gilles Tombeur, évoque un soleil levant contemporain. Le granit Patagonia du Brésil, le stucco aux teintes douces et les banquettes drapées de tweed chiné s’entretiennent, jaugent le client et invitent à s’attabler confortablement, se laissant emporter.
Sous la direction du jeune chef Thibaut Moine, formé dans les institutions les plus prestigieuses de la cuisine française (Albert de Mun et ancien de La Tour d’Argent, Pré Catelan et Lapérouse) la cuisine du Zo atteint des sommets de créativité insoupçonnés. Les plats méditerranéens sont une ode à la simplicité et à l’authenticité. Les poissons du jour et préparés avec maestria, fondent littéralement en bouche, tandis que les viandes aux jus corsés régalent les palais les plus « emmerdants ».
En témoigne des linguine nageant gentiment dans une sauce tomate maison, agrémentées d’aubergines rôties et coiffées d’un cœur onctueux de burrata, jusqu’aux rigatoni exhalant le parfum envoûtant de la truffe noire, en saison évidemment. Les gourmands de poissons seront comblés par les pâtes au citron accompagnées d’un tartare de bar frais et acidulé, ou par un saumon (Label Rouge) subtilement mariné à la teriyaki, servi avec des choux de Bruxelles croustillants.
Pour les viandards à l’appétit féroce, un tendre filet de bœuf Simmental, relevé par une moutarde à l’ancienne et des champignons de Paris sautés font plus que l’affaire, et rivalise notamment le T-Bone de veau de lait, sauce Béarnaise et frites maison, sinon j’prends pas.
Zo ne serait pas ce qu’il est sans son impressionnante sélection de sushis, préparée par le Maître Sushi Yue. Chaque pincée de baguettes présente une œuvre d’art, un équilibre parfait entre fraîcheur, texture et saveur. Aux amateurs du genre amateurs comme à ceux en quête de curiosités, Zo offre un voyage sensoriel sans pareil.
Parmi les créations les plus prisées, « Black Salmon » est une fusion de sushi saumon caramélisé au miso. Les « Galettes Thon/Truffe » dévoilent une jolie discussion de feuille de gyoza, tartare de thon, truffe, et yuzu. Les amateurs de saumon seront ravis par les « Galettes de Saumon Fumé », garnies de saumon et d’une crème acidulée onctueuse. Et pour une expérience plus sophistiquée, « California Dancing Eel », commente un mélange de tempura de gambas, d’avocat, et d’anguille grillée.
Nous n’oublions pas les connaisseurs de saveurs épicées, qui plongeront tête baissée dans « Spicy Dragon », composé de thon épicé, d’avocat, de cream cheese, et de saumon teriyaki.
En cette année anniversaire, Zo continue de séduire le tout-Paris avec son mariage unique de saveurs asiatiques et méditerranéennes. C’est ainsi.
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