Le Professeur Angus Dalgleish, oncologue et professeur émérite à l’Université de Londres, a récemment secoué SkyNews Australie avec une vérité qui dérange. Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, Angus Dalgleish n’a pas pour habitude de mâcher ses mots, et sa dernière sortie sur les vaccins à ARNm fait déjà grincer des dents.
Commençons par le début, là où tout a dérapé. Les confinements. Angus Dalgleish, comme d’autres voix dissidentes, n’a pas été tendre avec ces mesures, qu’il considère avoir fait plus de mal que de bien. C’est un peu comme si, pour soigner une grippe, on vous envoyait dans une pièce sans fenêtre avec une montagne de médicaments dont vous ignorez l’effet.
Résultat ? Les confinements ont laissé derrière eux des dégâts psychologiques, des retards dans les traitements médicaux et une économie en berne, sans parler des conséquences à long terme sur la santé mentale de millions de personnes. Mais bon, à l’époque, personne n’avait vraiment le choix. La pandémie a été une tempête où les gouvernements ont fait de leur mieux… ou pas. Angus Dalgleish, quant à lui, n’a pas vraiment l’intention de laisser passer ça sous silence.
Les vaccins à ARNm : une promesse trahie
Mais là où le Pr Dalgleish fait vraiment des vagues, c’est sur les vaccins à ARNm. Ces petites merveilles censées éradiquer le covid-19 ont, selon lui, causé plus de dégâts que d’améliorations. Et que dire des « caillots » d’AstraZeneca, qui ont engendré un véritable carnage avant qu’on ne se réveille trop tard ? Mais Angus Dalgleish ne s’arrête pas là, il jette carrément la pierre sur les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna, les accusant d’être la cause d’une montée en flèche de cancers. Oui, vous avez bien entendu. Ces vaccins, qui sont censés protéger contre une maladie respiratoire, auraient généré une prolifération de cancers à une vitesse vertigineuse. Tout ça parce qu’ils auraient « modifié » le génome.
Derrière cette critique, il y a bien sûr une longue liste d’autres chercheurs qui partagent son point de vue. Des voix comme celles de Jay Bhattacharya ou Martin Kulldorf, des scientifiques mis sur la touche pendant la pandémie pour leurs positions opposées à la ligne officielle, continuent de faire des vagues. Mais ces voix sont étouffées, censurées, invisibilisées, comme une vieille série B qu’on préfère ne plus diffuser. Pourtant, elles réclament des enquêtes, des moratoires, des audits sur la technologie ARNm.
La censure, le poison qui tue la vérité
Et voilà où le bât blesse. Pourquoi le gouvernement, pourquoi les autorités sanitaires ne veulent-elles pas ouvrir les yeux sur les dégâts causés par ces décisions prises dans la panique ? Pourquoi refuse-t-on d’entendre ceux qui ont tiré la sonnette d’alarme ? Angus Dalgleish a un avis bien tranché : « Ce n’est pas normal de ne pas interdire ces vaccins. Le covid est terminé, il ne tue plus personne, alors pourquoi continuer à injecter des produits dont on sait qu’ils augmentent le risque de cancer ? » C’est une question que peu de gens osent poser dans les médias traditionnels, qui préfèrent maintenir le cap plutôt que d’admettre qu’ils se sont peut-être trompés. Pas question de revenir en arrière, pas question de remettre en cause une narrative qui a coûté cher à tout le monde. C’est bien plus simple de laisser les experts, qui l’ont dit tout haut, dans l’ombre.
Une transparence à géométrie variable
C’est là que la censure, ce mal invisible mais omniprésent, entre en scène. Les scientifiques qui ont remis en question l’efficacité des vaccins ou des confinements ont été muselés, écartés, relégués aux marges du discours médiatique. On leur a donné une image d’irresponsables, de complotistes, alors qu’ils n’étaient que des voix dissidentes, des chercheurs inquiets des conséquences à long terme de ces politiques. Angus Dalgleish, pour sa part, est formel. Les agences comme la FDA ou la TGA ont fait preuve d’une « incompétence » et d’une « négligence » effroyables. On peut se demander si ces agences n’étaient pas trop pressées de vendre leur produit pour réellement en mesurer les effets. Et qui paye les pots cassés ? Les citoyens, les innocents qui ont cru à la promesse d’un vaccin sauveur.
Le bilan : un gâchis de mensonges
Alors, qui osera ouvrir enfin la boîte de Pandore ? Qui aura le courage de demander la vérité sur les effets des vaccins, des confinements et de la gestion sanitaire de la pandémie ? Parce qu’à ce jour, le silence reste d’or et les vérités restent cachées sous des couches de censure. Le Pr Dalgleish, lui, a eu le courage de dire ce que d’autres n’osent même pas penser. Et cela, c’est la plus grande insulte à l’intelligence collective. Que des voix comme la sienne soient marginalisées, alors que le monde continue de vivre sous un voile d’ignorance.