Dans un monde où les principes fondamentaux de l’humanité, tels que l’entraide et l’altruisme, devraient prévaloir, un autre pouvoir s’impose de manière implacable : celui de l’argent. La société contemporaine, au lieu de s’élever grâce à ces valeurs, semble sombrer dans une obsession maladive pour le matérialisme, poussée à l’extrême par une course frénétique à la consommation. Ce constat tragique se manifeste dans tous les domaines de la vie, des décisions politiques aux manipulations médiatiques, en passant par les stratégies des grandes industries.
Un exemple frappant de cette dérive est l’opération de vaccination de masse contre la variole du singe, qui, selon certains, n’est qu’une nouvelle entreprise lucrative pour les géants pharmaceutiques. L’annonce de la mise en place de 232 centres de vaccination, alors même qu’aucun cas de variole du singe n’était déclaré en France, suscite des interrogations légitimes sur les véritables motivations de cette campagne. Comme pour la gestion de la pandémie de covid-19, il apparaît que l’État a voté, dès novembre 2022, des mesures financières au profit des industriels, bien avant que le besoin de ces mesures ne soit avéré. Un transfert de richesse opéré sous couvert de santé publique, mais dont les véritables bénéficiaires sont, encore une fois, les grandes entreprises.
Ce glissement vers une société où le pouvoir politique est intimement lié à l’argent se reflète également dans la manière dont l’information est gérée. Les médias, subventionnés pour relayer un certain narratif, ne sont plus les garants de la vérité, mais les instruments d’une propagande au service du pouvoir en place. Cette manipulation de l’opinion publique se fait souvent au détriment de la réalité, les faits étant déformés pour servir des intérêts particuliers. Le récent exemple des Jeux olympiques en est une illustration parfaite : tandis que les médias louaient les retombées économiques de l’événement, la réalité sur le terrain était tout autre, les commerces parisiens restant désespérément vides.
Cette situation est d’autant plus alarmante que les citoyens semblent de plus en plus déconnectés de cette réalité. Ils s’en remettent aveuglément à l’État pour résoudre les problèmes, sans réaliser que ce même État est souvent à l’origine de ces difficultés. Une confiance mal placée, qui rappelle tristement la figure du pompier pyromane, créant les conditions de sa propre intervention pour mieux asseoir son pouvoir.
Cette dystopie moderne, où la vérité est réécrite pour servir des intérêts politiques et financiers, est facilitée par une réécriture constante de l’Histoire. Les médias, dépendants des subventions publiques, se font les relais d’une version des faits dictée par ceux qui les financent. Les journalistes, autrefois défenseurs de la vérité, deviennent les complices d’une manipulation de masse, trahissant ainsi la confiance du public.
Aujourd’hui, la liberté d’expression, fondement de toute démocratie, est en péril. Ceux qui osent défier le narratif officiel, sont muselés ou décrédibilisés. Le pouvoir en place, que ce soit en France ou ailleurs, semble avoir fait de la répression et de la désinformation ses armes principales pour maintenir son emprise.
Face à cette réalité sombre, il est essentiel de rappeler que la lutte pour la vérité et la justice n’est jamais vaine.